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dimanche 19 avril 2015

Glass: Glassworlds, Vol. 1 : reviews

My dear friends


No show off intend with this post. I simply try to , like i did with my Liszt - Christus album , to centralise the review for a real practical reason. 
Unfortunately my website "review" section is very exaustive , but ... not very practical. 
I hope in this way, it will be then way easier for everyone 







Reviews : 


Seth Colter Walls (Rhapsody.com) - RHAPSODY - TOP 10 CLASSICAL ALBUMS, APRIL 2015
Nicolas Horvath has launched the first volume of a planned series, Glassworlds, with an album that includes a buoyant performance of Glass' Orphee Suite.

Remy Franck (Pizzicato.lu)
Die technische Herausforderung an den Pianisten ist gewaltig, bereitet aber dem monegassischen Pianisten Nicolas Horvath keine Probleme. Seine Virtuosität ist stupend

International Piano (june 2016) 5 Stars
Expert performances.’


C. Michael Bailey (All About Jazz, April 2015)
Glassworlds I promises to be a comprehensive look at the whole of Philip Glass’ piano art. Horvath takes great care in his articulation of the volume dynamics of the piece, treating the music gently were required and with muscle where appropriate. It will be a treat to hear what is on Glassworlds 2.

Patrice Imbaud (L'Education Musicale - Mars 2016) "A découvrir absolument !"
Si certains esprits critiques se plairont à souligner la faiblesse compositionnelle de ces pièces, nul ne pourra mettre en doute la magie de l'interprétation de Nicolas Horvath qui nous avait déjà séduit avec son dernier enregistrement lisztien. Rigueur dans la progression rythmique, virtuosité et délicatesse du toucher, poésie de la ligne tout y est pour affirmer haut et fort la profonde affinité existant entre le pianiste et le compositeur américain. Une merveilleuse façon d'entrer dans le monde si particulier de Philip Glass.

Dionys (Inactuelles)
Le pianiste nous entraîne loin des lectures sages, compassées qui réduisent Philip Glass à une icône de la musique minimaliste ou répétitive. Primat à la sensibilité sur la technique compositionnelle !
C'est bien ce que l'on entend dès Opening (1981), une des plus célèbres compositions de Glass, plus contrasté m'a-t-il semblé que sous les doigts du compositeur, avec des moments de retenue très beaux joints à une incroyable délicatesse de toucher, une grâce brumeuse, des montées plus intenses. Une très belle relecture, qui nous prépare à l'étonnante "Orphée Suite", arrangement par Paul Barnes pour le piano d'extraits de l'opéra de chambre en deux actes Orphée d'après Jean Cocteau. Rappelons au passage que Philip Glass a terminé ses études musicales à Paris, sous la houlette de Nadia Boulanger, qu'il parle assez bien français et connaît notre culture, d'où son intérêt pour Cocteau, auquel il consacrera une trilogie. Étonnante, cette suite ? Elle combine ragtime tumultueux et mélodies envoûtantes comme celle de "Journey to the Undeworld", vision infernale à la beauté trouble, très inattendue dans l'œuvre de Philip Glass. Même "Orphée and the Princess", a priori plus dans les clichés glassiens, est aérée par le toucher précis qui fait ressortir chaque note, par l'énergie des montées, la profondeur des moments graves. Toute la suite est tranfigurée, portée par un charme irréel qui se résoud en une atmosphère vaporeuse traversée d'élans émouvants dans la dernière section "Orphée's Bedroom Reprise".
Dreaming Awake, pièce de 2003, si elle ressemble plus à du Glass, surprend par une fougue étincelante, une inventivité mélodique que j'ai pu entendre sous les doigts du compositeur interprétant quelques unes de ses récentes Études pour piano lors de son récent concert à La Comète de Châlons en Champagne. Ce premier enregistrement mondial est superbe, brassant les émotions les plus diverses avec une grande palette de couleurs au long des quatre mouvements, surprenant par un savant jeu de reprises et d'amplifications.
Le programme se termine avec une longue pièce de plus de trente minutes datant de 1968, How Now, représentative du style répétitif de cette période, mais également influencée par les ragas indiens, les gamelans indonésiens. Le piano s'y fait percussif, le jeu roulant des notes produit des champs harmoniques denses, d'où son côté hypnotique. Le piano devient portique de cloches folles agitées par le vent. Musique extraordinaire, qui suscitera sans doute de violents rejets de la part de ceux qui voudraient n'y entendre que le retour du même, tout à fait enthousiasmante pour les autres, dont je suis, ravis d'être transportés dans cette série d'escalades vertigineuses, dans cette houle illuminée, ce martèlement pourtant assez différent de celui d'un Charlemagne Palestine. C'est un chemin violent d'ascèse, un dépouillement, sans cesse à reprendre pour atteindre l'extase.
Un disque magistral, éblouissant, fort intelligemment conçu de manière non chronologique pour présenter toute la diversité de l'œuvre de Philip Glass, ce jeune compositeur de plus de 87 ans. La rencontre d'un immense compositeur et d'un non moins immense pianiste, qu'on se le dise ! Sans oublier le piano, un Fazioli, à la musicalité exceptionnelle !!

David Denton (David’s Review Corner)
Glass was to embrace every genre, though as he composes at the piano, he has contributed much for keyboard. Certainly an acquired taste, but one which you have to become acquainted, the opening of Glassworks having a delicacy that reminds one of Debussy. With jazz introducing a different slant to the opening of the suite from Orphee, this too largely relies on quiet nuances. The opera, from which it is taken, points to Glass’s quite considerable and critically acclaimed contribution to the stage. The ‘hard nut’ to crack, for those just coming to Glass, will be How Now, a score that lasts for over thirty minutes, its highly repetitive nature requiring the French-born pianist, Nicolas Horvath, to breath life into it. Basically the music does not demand a prodigious technique, though the ability to shade music with an infinite number of sounds is a prime requisite. Here we have such remarkably smooth crescendos and diminuendos, you would almost construe they were electronically created. The engineering is excellent.

Piano Bleu
Inutile donc de vous commenter les qualités d’interprétation de Nicolas Horvath, un pianiste qui semble ici complètement et parfaitement « chez lui » avec cette musique dans laquelle il met beaucoup de sa sensibilité personnelle.

Seth Colter Walls (Rhapsody.com)
On this all-Philip Glass album, young pianist Horvath has the honor of giving the recorded premiere of « Dreaming Awake, » a pleasant 2003 piece that breaks no new ground. Much more interesting is his take on Glass’ « How Now, » which dates from 1968. Glass himself once played this uber-minimalist opus with a brittle, buzz-saw synth — though Horvath goes in the other direction, managing to sound both nervy and graceful on a resonant grand piano. And while his teasingly languorous performance of the Orphee Suite flirts with lassitude, he keeps the work’s essential momentum going.

Rodolphe Bruneau-Boulmier (En Piste ! 8 Février 2015)
En passant par l œuvre pour piano que l on peut découvrir aujourd'hui grâce à Nicolas Horvath , excellent pianiste qui se lance dans une intégrale , c'est le premier volume pour le label Grand Piano. Il faut dire que Nicolas Horvath c'est l'un des grands interprètes de ce répertoire qu'il défend depuis des années en récital principalement et il donne aujourd'hui une vision très chaleureuse de cette musique qui lui retire un peu ce coté mécanique que l'on peut parfois trouver à la musique de Philip Glass pour lui installer une sorte de rubato de lyrisme même. à cette musique que l'on peut parfois trouver un petit peu froide.
C'est le début d'une belle intégrale en tout cas c'est le premier volume.
C'est lui qui écrit la notice de ce disque , on sent un véritable amour , il dit qu'il la joue depuis des années , qu'il se lance dans cette intégrale et j'ai l impression que c 'est vraiment un interprète privilégié aussi pour la musique du XXI ème siècle et du XX ème siècle , on va suivre ceci avec intérêt
On a là en plus une très belle prise de son.

Infodad.com (March 2015)
Nicolas Horvath brings as much care and sensitivity to the piano version of How Now…as to the much more dramatic Dreaming Awake …

JPC.de
Nicolas Horvath ist unter anderem bekannt für seine viel gelobten Liszt-Einspielungen auf dem Label Editions Hortus. Aber immer wieder realisiert der Monegasse auch Projekte abseits eingetretener Klassikpfade, so etwa ein Album mit einem Soundtrack zu H. P. Lovecraft's Fantasy-Geschichte »Dreams in the Witch House« in Kollaboration mit einer Dark Ambient-Rockband.
Philip Glass' Klavierwerke sind bei Horvath also in den besten Händen, denn in seiner Persönlichkeit vereinen sich spieltechnische Könnerschaft und das gewisse Quäntchen Pop-Feeling, das man für Glass' minimalistische Klanglandschaften eben auch benötigt.

Stephen Smoliar (Examiner.com)
There is no shortage of excitement in […] performances.As a result, my greatest pleasure come from Horvath’s performance of Barnes’ suite based on Glass’ opera. ...Horvath [...] bring[s] an accessibility to Glass’ music that affirms that his years of youthful provocation have long passed.

La Nuit Magazine – 18 Septembre 2015
Le brillant pianiste français Nicolas Horvath nous propose une plongée dans l’univers feutré du compositeurs américain Philip Glass.
Outre la technique remarquable du pianiste que l’on peut apprécier dans ses interprétations virtuoses des oeuvres de Franz Liszt, on savoure ici la sensibilité de son touchée, et sa vision simple et épurée de cette partition que l’on ressent dès les premières notes d' »Opening », pièce écrite en 1981 et qui reste a ce jour l’une des plus connues du compositeur. Sous les doigts de Nicolas Horvath, « Glassworlds vol1 » parait plus contrasté qu’à l’habitude, le musicien y injectant une grâce brumeuse et toute en retenue qui contraste avec des émotions intenses, une très belle relecture.
Un disque magistral qui vous fera découvrir une partie des multiples facettes de cet immense compositeur portée par la maestria de son brillant interprète. Le piano Fazioli utilisé lors de l’enregistrement nous rappelle a quel point la marque italienne manufacture des merveilles, tant pour leurs capacités musicales, que leur puissance sonore, leur robustesse implicite, ainsi que pour leur finition et leur extrême raffinement. À découvrir sans plus attendre.

cdconnection.com
Top 100 Classical - Fastest Selling Classical CDs April 23, 2015 :   GlassWorlds #19


AudioNec
For all the piano lovers and contemporary music, this CD is a must have. Perfect play of Philip Glass’s music with a kind of eternal candle to light it inside. Perfect sound and recording of a Fiazoli Grand Piano with all the harmonics and exceptional dynamic of this unique instrument.

fnac.com
Top 50 Classical Best Selling Classical CDs  May 6, 2015 : GlassWorlds #42

Chris Morgan (Scene Magazine, July 2015)
Pianist Nicolas Horvath exhibits skill and inventiveness in his performance, qualities which allow him to go wherever the music leads

Rob Haskins (American Record Guide, July 2015)
the disc is important because it demonstrates that Glass’s music works quite nicely alongside other composers of the past and alongside quite traditional approaches to performance generally

Christian Williams (Utne Reader, May 2015)
Considered one of the most sought after classical pianists of his generation, Steinway Artist Nicolas Horvath is always looking for bigger challenges. His latest release, Glassworlds Vol. 1, sees him taking on more of Glass’ complex minimalism with aplomb.


Mike Shooter (La Vos de los Vientos)
La aproximación de Horvath a la pieza [Opening from Glassworks] es profundamente lírica, con un sentimiento que cuesta adivinar en otras versiones, incluyendo la del propio compositor.
La sola presencia de “Dreaming Awake” sería motivo más que justificado para que el seguidor de Glass se acercase a esta grabación. El resto del repertorio, sin ser tan “raro” no está entre lo más interpretado de su autor lo que convierte a este primer volumen de “Glassworlds” en un interesante punto de partida para una serie que puede atraer por igual al neófito y al experto. Estamos seguros, además, de que el seguidor habitual del blog encontrará en él muchos motivos de disfrute.

Michel Dutrieue (Klassiek Centraal - 30/05/15 ) ranking : ****
Na de opening van Glassworks (1981) volgt het arrangement voor piano solo van pianist en eveneens Liszt vertolker Paul Barnes (°1961) van de Orphée Suite uit 2000. Ritmische ostinati, trance achtige arpèges, etherische melodieën, toonladderfiguren en harmonische progressies wisselen elkaar af of volgen elkaar op. De suite bestaat uit The Cafe in verrassende ragtime stijl, het wazige en fragiele Orphée’s Bedroom met het Gluck citaat dat uitmondt in het gelijkaardig Beethoven citaat uit diens Mondschein, het mysterieuze, Chopin prélude-achtige Journey To The Underworld, het elegante Orphée And The Princess met zijn innemende dalende toonladder, het tremolerend, repetitief Return To Orphée’s House, het aarzelend, meditatief en vredig Orphée’s Return en het magisch, bedwelmend Orphée’s Bedroom.
Dreaming Awake, verklanking van verdriet, angst en wanhoop uit 2003, is hier voor de eerste keer opgenomen. De orgelachtige klank van How Now uit 1968 (een goeie 30 min.) klinkt door al Glass’ typische stijlkenmerken, hypnotiserend. De compositie betekende het begin van Glass’ minimalistische, repetitieve muziek en besluit op deze cd wat pianist Nicolas Horvath in de tekst van het bijhorend boekje omschrijft als “the experience of the divine feeling of love”.

Colin Clarke ( International PIano n°31 May-June 2015 ) ranking : *****
Somehow, the objectivity of the sound of a piano suits the music of Philip Glass perfectly. Certainly that's how it seems in Nicolas Horvath's expert performances on this, the first of a series of Glass Recordings.
The Opening from Glassworks (1981) exudes calm in its echt-Glassian construction. The programming is impeccable here, with the first movement of the Orphée Suite, The Café, at once immediately related to Glassworks but more external, more ragtime.
If the delicacy of Orphée’s Bedroom is as heady as the most Impressionist perfume, it could hardly stand in higher contrast to Orphée’s Journey to Hell , a nightmarish tone poem that immediately makes clear the composer’s affi nity with film (one is reminded of his awe-inspiring soundtrack to the 1931 Dracula). The sheer beauty of the melodic line of Orphée and the Princess is stunning in this performance, while Orphée’s Return finds myth morphing into fairytale.
Dreaming Awake (2003) is a world premiere recording, in itself making this a mandatory purchase, and Horvath projects the music’s energy perfectly. The much earlier (1968) How Now comes up against stiff competition in the shape of Schleiermacher (Dabringhaus). Influenced by Indian raga and gamelan as well as jazz, How Now is a virtuoso piece in which the piano seems to transcend its own boundaries and where the sustaining pedal transports the listener to whole new worlds. Horvath in no way loses out to Schleiermacher. Volume 2 is eagerly awaited.

Gramola.at
Philip Glass’ Klavierwerke sind bei Horvath also in den besten Händen, denn in seiner Persönlichkeit vereinen sich spieltechnische Könnerschaft und das gewisse Quäntchen Pop-Feeling, das man für Glass’ minimalistische Klanglandschaften eben auch benötigt.