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vendredi 1 avril 2016

Glass : GlassWorlds Vol.3 reviews

My dear friends

As the 4th Volume will soon appear, i just realised that it would have been time to make a blog entry about all the fantastic reviews i received so far on the 3rd Volume






International Classical Music Awards : 2016 Nominee

Midwest Tape, February 2016
This Nicolas Horvath program reverses time, revealing the metamorphosis in Glass’s work from his 1980s film and theatre transcriptions, through The Olympian composed for the Los Angeles Olympiad, to rarities such as the dream-like Coda

Patrice Imbaud (L'Education Musicale - Mars 2016) "A découvrir absolument !"
Sortie sous le label Grand Piano du troisième volume d'un corpus regroupant des œuvres pour piano solo, originales et transcriptions, interprétées par le talentueux pianiste Nicolas Horvath. Au-delà de ces considérations musicologiques, sans doute un peu vaines, et de la place qu'il faut accorder à cette musique particulière dans la grande histoire de la Musique, peut être faut-il simplement goûter le plaisir et la beauté ressenties à l'écoute de ces trois albums, un peu comme un « voyage à travers une œuvre qui ne laisse pas indifférent, une impression nocturne de flotter sur des eaux tranquilles d'un lac, sous un ciel étoilé… » (Nicolas Horvath).
Voilà assurément trois albums admirables, magnifiés par l'éblouissante interprétation de Nicolas Horvath. Un challenge pianistique qui nous ouvre dans des conditions optimales le monde sonore si particulier du compositeur américain.
Métamorphose, un maître mot dans l'univers compositionnel de Philip Glass, comme dans celui du pianiste puisque s'appliquant à la composition comme à l'interprétation, changement de forme et de structure si important que l'être ou la chose qui en est l'objet n'est plus reconnaissable. Un procédé bien connu en musique utilisé comme fil directeur dans cet enregistrement. Un programme comme un « melting pot », un retour dans le temps remontant jusqu'aux années de formation du compositeur à la Juilliard School. Metamorphosis (1988) constitue indiscutablement un tout, même si les différentes sections n'ont pas été composées dans le même but. The Olympian (1984), pièce écrite initialement pour fanfare à l'occasion des JO de Los Angeles, est une sorte de chant à la gloire de la fraternité des hommes. La Trilogy Sonata nous propose des transcriptions pour piano de Paul Barnes (2000) de trois opéras de la trilogie des portraits (Einstein, Gandhi et Pharaon Akhenaton) de Glass (Einstein on the Beach, Satyagraha et Akhnaten). Coda (1980), issue de The Late, Greay Johny Ace, s'élève comme une complainte élégiaque à la mémoire du chanteur Johny Ace, de John Kennedy et de John Lennon. Two Pages (1968) et Secret solo (1977) traduisent l'influence de la musique indienne et de Ravi Shankar dans la musique de Philip Glass, tandis que la Piano Sonatina n° 2 (1959) clôt ce superbe album sur un aperçu surprenant du « Glass avant Glass ».

Stephen Smoliar (Examiner.com, January 2016)
The most substantial part of Horvath’s album is the collection of five pieces entitled “Metamorphosis”…
each of Barnes’ arrangements stands up perfectly well when performed independently…

Rob Haskins (American Record Guide - May 2016)
Performances are fine and demonstrate as always Horvath’s intense, almost romantic expressive choices for the music. Glass’s music benefits from this approach very nicely.

Lark Review (February 2016)
I found this a very appealing recording

The Naxos Chart - January 2016 : Naxos Top 20 Bestsellers

Stephane Godet (2nd December 2016 - stephanegodet.com) Nicolas Horvath, pianiste hors normes !
Tout prédestinait Nicolas Horvath à suivre une carrière de pianiste classique à l’image de ses pairs et dans le sillon de ses illustres aînés. Repéré très tôt, formé par les plus grands, bardé de récompenses, il aurait pu « faire la carrière » du concertiste parcourant la planète de salle de concert en salle de concert, égrenant concertos et programmes solistes.
Tout au contraire, il a choisi des chemins de traverses avec des projets originaux qui s’inscrivent dans une démarche tout à fait singulière qui en fait sa marque de fabrique.
Destinataire de son opus 4 de l’intégrale des enregistrements de la musique pour piano de Philip Glass qu’il me fit parvenir après avoir pris connaissance de mon blog, j’ai réalisé la démarche originale de son auteur.
Je ne suis pas un grand connaisseur de la musique du compositeur américain, formé à la Juilliard School, avant de recevoir l’enseignement de Nadia Boulanger et d’être marqué par sa rencontre avec Ravi Shankar.
Connu pour ses opéras, cet enregistrement d’œuvres de Philip Glass contient la transcription de la musique du film The Hours, complété par trois pièces dont une enregistrée pour la première fois.
Nicolas Horvath restitue à merveille les ambiances de cette musique jugée à tort minimaliste d’après son auteur.
Elle peut susciter le rejet à qui ne prend pas le temps de se laisser porter, et même transporter dans un labyrinthe dont l’issue n’est pas connue à l’avance.
C’est tout ce qui fait le charme de cette expérience unique aux confins du spirituel où le départ ne présuppose jamais la fin.
Nicolas Horvath donne régulièrement l’intégrale de l’œuvre de Philip Glass en concert. Assurément, une expérience sensorielle unique, sans doute proche des happenings musicaux auxquels on peut participer dans églises en Allemagne, allongé pendant des heures.


International Piano : 4 Stars
Nicolas Horvath continues his excellent series of Glass piano music. The longest offering, Metamorphosis (four transcriptions of music used in a soundtrack and a play) demonstrates Horvath's strengths in his ability to capture Glass' stretching of time, and his sensitivity to prolonged moods. The couplings are fascinating, with three opera excerpts transcribed by Paul Barnes as the Trilogy Sonata. If the Akhnaten Dance has to live up to ENO's recent staging of the opera, it still holds dark intensity. The inclusion of the student Sonatina, a premiere recording, opens a window on the pre-minimalist, French-influenced Glass. Fascinating

David Denton (David's Review Corner, January 2016)
Not all of the disc was originally intended for the piano, and many tracks sound that way, though the Glass specialist, Nicolas Horvath, is always a potent advocate

Bertrand D (lesveillesmusicales - 23 février 2016) : PHILIP AVANT PHILIP
Si les poules avaient des dents. Si Ponce Pilate ne s’était pas lavé les mains. Si Christophe Colomb n’avait pas découvert l’Amérique. Si la gauche était au pouvoir. Si Elvis était mort…
Autant de potentialités qui tournent dans nos têtes quand nous n’avons rien d’autre à faire. L’uchronie a son charme et elle a produit quelques pièces maîtresses : relisez Le Maître Du Haut Château de Philip K. Dick. Les forces de l’Axe ont gagné la deuxième guerre mondiale et une partie des États-Unis est occupée par les Japonais. Un univers dans lequel un écrivain de science-fiction a écrit un roman où l’Allemagne nazie a perdu la guerre… Tout ceci semble n’avoir aucun rapport avec la sortie récente du troisième volume que le pianiste Nicolas Horvath consacre aux pièces pour piano de Philip Glass. D’abord les cinq Metamorphosis et puis, entre autres et dans le désordre, The Olympian (composé pour la cérémonie d’ouverture des 23èmes Jeux Olympiques d’été), la Trilogy Sonata en trois mouvements (des transcriptions réalisées par Paul Barnes à partir des opéras Einstein On The Beach, Satyagraha et Akhnaten) et la Coda issue de The Late, Great Johnny Ace (conçue comme une conclusion à la chanson de Paul Simon sur les morts du chanteur de rythm and blues Jonny Ace, de John Fitzgerald Kennedy et de John Lennon).
Les fans de Philip Glass y retrouveront ici tous les tics de langage du musicien américain : répétitions, arpèges et polyrythmies. Le plus : Nicolas Horvath traite tout ça comme de la musique de répertoire, avec un jeu quasi-romantique, là où ses premiers interprètes optaient pour une vision plus détachée et métronomique. Mais la gestion du temps, ce pianiste sait ce que ça veut dire : en 2012, il était à l’origine de la version de concert
la plus longue à ce jour des Vexations d’Erik Satie, une petite pièce pour piano à répéter 840 fois. Avec Nicolas Horvath, cela dure 35 heures, tout seul au clavier. Avant Martine Aubry, aurait-il fait encore plus long ? Mais ce qui nous rapproche de notre introduction, c’est la pièce finale du disque : du Philip Glass d’avant Philip Glass, une sonatine pour piano de 1959, écrite sous l’influence de son professeur de l’époque, Darius Milhaud. C’était bien difficile à l’époque de prévoir ce qui suivrait. Si Philip Glass avait poursuivi dans cette voie, l’histoire de la musique américaine ne serait pas tout à fait la même. Si LesVeillesMusicales n’existaient pas, vous ne le sauriez peut-être pas. Si Christophe Colomb n’avait pas découvert l’Amérique, Kennedy serait peut-être encore vivant.

Michel Dutrieue ( klassiek-centraal - 17/08/16 ) **** Glassworlds, pianomuziek van Philip Glass : Warm aanbevolen.
De duizelingwekkende puls patronen maken het tot een mijlpaal van het minimalisme

Alain Lambert (19 février 2016 – Musicologie.org)
Voici donc le 3e disque de Nicolas Horvath consacré à l'intégrale pour piano du compositeur américain. Et déjà un parti pris de ralentir le jeu, pour le morceau titre, quand on compare celui enregistré par le compositeur, hormis le 3e moment, plus rapide ici. Autre différence notable, la lente apparition du 1er moment et la longue disparition du dernier. Mais c'est le rôle de l'interprète de recréer, et de ne pas chercher à reproduire ce qui a déjà été donné à entendre.
Un cédé riche et dense, pour redécouvrir l’œuvre (pour piano) de Philip Glass

Klaus Heymann (Janurary 2016 - KLAUS HEYMANN REKOMMENDERAR!)
Nicolas Horvath’s Glassworlds project continues to impress as it assembles a collection of Philip Glass' piano music which goes beyond being comprehensive: new transcriptions, together with versions of works that are both familiar and seldom heard, are generating a relatively new branch of piano literature from this composer. Intriguingly organised in reverse chronology, this third volume combines the well-known Metamorphosis 1-5 with some genuine rarities that will put collectors on high alert.

Dionys (Inactuelles - 8 mars 2016) : Une lecture transcendante de Glass
Troisième volume de l'intégrale des œuvres de Philip Glass, qu'elles aient été composées pour le piano ou transcrites pour cet instrument, interprétées par le pianiste Nicolas Horvath, Glassworlds 3 Metamorphosis confirme ce qui était déjà audible - et revendiqué nettement - dans les deux précédents disques : le pianiste explore « un univers dense, profond mais sensible et qui ne demande qu'à être découvert ». Sa démarche, c'est une approche en effet sensible, romantique, celle d'un homme libre qui s'aventure dans les partitions pour en extraire les beautés. Pas de respect obligatoire d'une interprétation qui serait intangible. Je rappelle que pour les détails techniques ou les références des pièces, je renvoie à l'excellent livret, aux notes du pianiste. Je me place du côté de l'auditeur amateur, des effets produits.
Comme le disque s'ouvre sur les fameuses Metamorphosis, tout amateur de la musique de Philip Glass ne manquera pas d'écouter la version que le compositeur en a donné dans le disque Solo piano paru en 1989 chez CBS. Les différences sont importantes. La plus extérieure est dans l'écart de durée pour quatre pièces sur cinq. Trois sont plus longues, comme la I : 5'39 chez Philip, 7'17 chez Nicolas. Une est plus courte, la III : 5'30 chez Philip, 3'29 chez Nicolas. Ce n'est pas une première dans l'histoire de la musique, bien sûr. Nicolas prend son temps, le dilate ou le concentre, selon son humeur. Le résultat, ce sont les différences intérieures : c'est qu'il nous propose une lecture vraiment nouvelle de celles-ci. Philip Glass les joue avec un dynamisme, une clarté, assez similaires, j'ai presque envie d'écrire avec une neutralité brillante, à même de souligner la virtuosité, les variations thématiques d'une écriture combinatoire. Nicolas Horvath plonge dans la forêt des notes, s'abandonne dans les allées du labyrinthe. Tout est plus mystérieux, plus varié, plus imprévu. On se perd dans la forêt au long de la I : tout baigne dans une pénombre reposante, et il faut aller cueillir au détour des sentiers invisibles quelques fulgurances lumineuses éparses. Il y a parfois une incroyable douceur, une indicible langueur, comme s'il hésitait devant un Graal intimidant, qu'il faut apprivoiser par des approches courtoises. À d'autres moments, la fougue s'empare de lui, les notes sortent en torrent pressé ; une énergie indomptable emporte l'auditeur, impressionné par la frappe étincelante, acérée, comme dans la Metamorphosis IV, magnifiquement bousculée, extraordinaire de clarté illuminante. On se souvient que Nicolas joue Liszt, on comprend que Nicolas transcende Glass, pour notre plus grand plaisir. Les contrastes sont puissants sans être jamais brutaux ou vulgaires, car l'interprétation reste constamment délicate, attentive, précise. Après les envolées des pièces III et IV, la Metamorphosis 5 referme le cycle sur des brumes épaissies, peut-être parce qu'on ne sort pas du cycle des métamorphoses, on plonge à nouveau dans les mystères de la vie. Quelle lecture formidable, magistrale !
Le disque propose aussi la Trilogy sonata, trois pièces transcrites pour le piano par Paul Barnes, extraites de trois opéras « portraits » du compositeur. La danse d'Akhnaten est éblouissante, virevoltante, comme l'épiphanie de la lumière sur les pyramides. La conclusion de Satyagraha bouleverse par le lyrisme de sa mélodie ascendante, grave, irrésistible comme la marche du Sel de Gandhi, inoubliable par sa beauté radieuse. Un antidote contre toutes les morosités ! L'intermède "Knee Play n°4" extrait de Einstein on the beach alterne une mélodie coulante simple et belle avec des moments tumultueux d'arpèges enchevêtrés. Nicolas distingue à merveille les deux strates qu'il entrelace avec une incroyable subtilité, presque un brin de facétie et dans le même temps un immense respect.
À ce programme ambitieux le pianiste a joint une de mes pièces préférées de Philip Glass, "Two Pages" (1968), joyau de la musique minimaliste dure. Fondée sur un processus additionnel de groupes de croches, elle crée très vite un effet hypnotique saisissant (ou de décrochement pour l'auditeur qui n'entend que le faussement même...) avec lequel Nicolas Horvath semble très à l'aise. C'est impeccable, "métronomique" et simultanément flamboyant comme un tapis chatoyant de courtes flammes piquées de pointes, véritable tapis volant de la grande maya, cette nature illusoire du monde pour les Hindous, mais également incarnation de la géométrie et de la sagesse éternelle.
On appréciera la générosité de ce disque, qui nous donne aussi à entendre des pièces rares ou inédites : la petite pièce pour la cérémonie d'ouverture des vingt-troisièmes jeux olympiques, petit format pour une ode vibrante, grandiose, qui ménage pourtant un passage introspectif avant l'ascension finale. "The Late, Great Johhny Ace" appartient à la famille glassienne des ballades élégiaques, presque transparentes de limpidité. "A Secret solo" est au contraire une courte pièce effrénée, délirante, inspirée par les transes des ragas indiens : superbe curiosité ! Enfin, la"Piano Sonatina N°2" de 1959, qui clôt l'album, est un souvenir émouvant de l'itinéraire musical de Philip Glass, alors élève de Darius Milhaud. Il se dégage de cette pièce mise de rien savante un parfum post-debussyste délicieux, à mi-chemin entre fantaisie et rêverie.
Inspiré d'un bout à l'autre, Nicolas Horvath nous fait découvrir pour notre plus grand bonheur un autre Philip Glass, plus humain, où la technique n'est plus qu'un chemin vers les grandes sources énigmatiques, mythiques et magiques, de la vie. Que nous réserve Nicolas Horvath pour la suite de ces mondes de Glass ?

Alex Baran (Keyed In - April 2016)
Young pianist Nicolas Horvath has a very impressive reputation as a Liszt interpreter. It’s no surprise then, that his approach to Glass in Philip Glass – Glassworlds 3; Metamorphosis (Grand Piano GP691) is strikingly different. His own liner notes to this recording reveal his inclination toward analytical detail. At the keyboard he extracts thematic material from the rotating structures that Glass sets spinning like so many Buddhist prayer wheels. In doing so he compels the listener to experience the music more melodically than its hypnotic patterns might otherwise allow. This sets his performance of the Metamorphosis I-V apart from most others. The melodic imperative that seems to drive Horvath’s interpretation of Glass’ music is even more powerful in Einstein on the Beach and the Piano Sonatina No.2 (1959). There’s even a hint of programmatic interpretation in the piano version of The Olympian – Lighting of the Torch and Closing.
By contrast, however, Horvath completely abandons all classical/romantic sensibilities in Two Pages (1968), choosing instead to favour the dominant mechanical nature of the repeating figures, leaving only Glass’ subtle changes to play with the listener’s mind. This kind of versatility makes Horvath a compelling interpreter and presents the repertoire in a deeply engaging and listenable way.

Salvatore Pichireddu ( Artistxite, February 2016)
Der französische Pianist Nicolas Horvath hat sich vorgenommen, Philip Glass’ vollständiges Klavierwerk aufzunehmen. Dabei spielt er—im doppelten Sinne—auf Zeit: Zum einen wird er noch eine Weile beschäftigt sein, die insgesamt neun Alben aufzunehmen (das vorliegende Album ist erst der dritte Teil der Reihe), zum anderen lässt er bei seinen Deutungen den Kompositionen genügend Zeit, sich frei entfalten zu können. Dafür verlangsamt er freilich nicht die uhrwerkhaften Tempi, sondern lässt jeder einzelnen Note genügend Zeit (und Raum), sich frei entfalten zu können. Das Ergebnis klingt, bei aller Schlichtheit der Mittel, auch ohne die übliche opulente elektro-akustische Instrumentierung geradezu überwältigend raumfüllend, vielschichtig, fast schon symphonisch. “Glassworlds, Vol 3” legt den Schwerpunkt auf Glass’ Kompositionen aus den 1980er Jahren: Neben dem fünfteiligen Zyklus “Metamorphosis” (1989) enthält das Album einige (von Paul Barnes angefertigte) Klavierauszüge aus seinen Opern “Einstein On The Beach” (1976), “Satyagraha” (1980) und “Akhnaten” (1983), sowie die Klavierfassung von “The Olympian” (1984), das anlässlich der Olympischen Sommerspiele in Los Angeles komponiert wurde. Als (erfreuliches!) Kuriosum enthält das Album die Coda aus “The Late, Great Johnny Ace”, die Glass fürPaul Simons gleichnamigen Song (auf “Hearts And Bones”, 1983) schrieb. Mit der Weltersteinspielung der frühen “Sonatina No. 2” (aus Glass’ prä-minimalistischen Studienzeit, 1959) beschließt Horvath ein spannendes und erstaunlich abwechslungsreiches Panoptikum, das jetzt schon unbedingt neugierig auf den kommenden Teil macht.

Arkivmusic.com (April 2016) recommendation
In his extraction of the thematic material from the composer's rotating structures he compels the listener to experience the music more melodically than its hypnotic patterns might otherwise allow. A deeply engaging and compelling interpreter"

Gramola.at
Philip Glass' Klavierwerke sind bei Horvath also in den besten Händen, denn in seiner Persönlichkeit vereinen sich spieltechnische Könnerschaft und das gewisse Quäntchen Pop-Feeling, das man für Glass' minimalistische Klanglandschaften eben auch benötigt.
Glass und Horvath, das ist für viele Rezensenten inzwischen ein untrennbares Gespann:Die ersten zwei CDs aus Horvaths Gesamteinspielung des Klavierwerks von Philip Glass haben enormes Aufsehen erregt und wurden hoch gelobt. Der auf insgesamt neun Teile angelegte Zyklus dreht diesmal die Zeit zurück bis an den Anfang der 1980er-Jahre. Glass realisierte damals u.a. "The Olympian", eine für die Olympischen Spiele in Los Angeles 1984 in Auftrag gegebene Komposition, aber auch seine bekanntesten Filmmusiken, wie "Einstein on the Beach", "Akhnaten" und "Satyagraha".

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